4. la "Warburg Bank" d'Amsterdam et de Hambourg
5. la "Lehmann Bank" de New York
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6. la "Khun Loeb Bank" de New York
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7. la "Chase Manhattan Bank" de Rockefeller de New York
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8. la "Goldman Sachs Bank" de New York
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Le membre du Congrès CHARLES LINDBERGH disait déjà a ce moment-là en parlant de la
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nouvelle Federal Reserve Bank que sa puissance financière faisait d'elle le "gouvernement
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Comment fonctionne, à vrai dire, cette banque ?
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Le "Comité du marché libre" de la Fed produit des "billets de la Federal reserve" (des
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dollars). Ces billets sont prêtés au gouvernement des Etats-Unis en échange d'obligations
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qui servent de sécurité à la Fed. Ces obligations sont entre les mains des douze banques
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Fed qui en touchent annuellement des intérêts.
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Remarque sur la situation actuelle :
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En 1982, le fisc des Etats-Unis accusait une sette d'environ 1.070.241 millions de $. La Fed
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récolta donc environ 115.800 millions de $ d'intérêts sur une seule année, payés par les
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contribuables américains. Le capital de ces intérêts va tout droit dans les poches de la Fed,
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donc dans celles des banquiers privés internationaux.
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En 1992, les obligations possédées par la Fed étaient d'une valeur d'environ 5.000.000
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millions de $ et les intérêts à payer par les contribuables montent constamment. C'est la
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Fed qui a créé tout ce capital en prêtant de l'argent au gouvernement américain et en
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touchant des intérêts élevés, elle n'a eu qu'à payer les frais d'impression. C'est la plus
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grande duperie de l'histoire des Etats-Unis et personne ne l'a remarquée. En plus, la Fed,
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gràce aux obligations du gouvernement américain, à le droit de gage sur les propriétés
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publiques et privées de tous les Etats-Unis. D'innombrables procédures juridiques sont
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restées jusqu'ici sans effet et n'ont pu annuler la loi de la "Federal Reserve". Juridiquement,
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il n'y a aucune possibilité pour les citoyens de récupérer leur argent puisque la Fed n'st pas
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un département du gouvernement américain mais une institution privée. D'après le droit
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constitutionnel, Fed n'aurait même pas le droit d'éxister.
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C'est pourquoi neuf Etats des Etats-Unis ont déjà entamé une "procédure d'Etat" pour
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LE SYNDIC DE SAISIE ROTHSCHILD
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A toutes les époques de l'histoire, il y a eu des rois et des dictateurs qui avaient la
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réputation de dépenser plus d'argent qu'ils ne pouvaient en soustraire à leur peuple en lui
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faisant payer des impôts. Les nations et les gouvernements empruntaient alors l'argent
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nécessaire aux banques Mais comment les banques récupéraient-elles cet argent si le
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gouvernement ne pouvait ou ne voulait pas payer ? La seule solution était la guerre !
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La manière dont les banques financèrent les gouvernements fait penser à une institution de
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crédit qui prête de l'argent à un client pour qu'il puisse s'acheter une voiture. Si le client ne
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peut plus payer ses traites, la voiture est saisie. Le même système ce appliqué pour le
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financement des gouvernements. Il ne faut pas prêter de l'argent à un seul pays. Il faut agir
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de même avec le pays adverse. Le prêteur doit s'assurer que les deux pays sont d'égale
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puisance pour qu'en cas de conflit, le financement soit le facxteur déterminant. Si un pays
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ne paie pas, le prêteur menacera ce pays de guerre par l'intermédiaire d'un autre pays. Si
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le premier pays refuse toujours de payer, le prêteur mettra la mainmise sur lui en se servant
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de l'autre pays qui qui fera du premier pays son butin de guerre (voir Machiavel).
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La maison Rothschild travaille depuis environ 160 années d'après ce concept (voir § 9 des
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Nathan et ses frères commencèrent à jouer ce jeu au siècle dernier en Europe, apès leur
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succès remporté lors des gueues napoléoniennes. A cette époque-là se développa en
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Europe l' "équilibre des forces". Pour renforcer sa position de "dominateur invisible" en
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Europe la maison Rothschild dut édifier deux puissances de force presque égale pour
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assurer l' "équilibre des forces". Les Rothschild devaient s'assurer que tous les rois du
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camp A pouvaient être menacés par tous les rois du camp B. Ils financaient bien sûr les
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deux camps. Mais il fallait alors une troisième puissance qui pourrait servir de police
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d'assurance au cas ou l'un des pays quitterait les rangs. Ce pays était l'Angleterre de
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Nathan qui avait, désormais, la suprématie en Europe. C'était facile de prévoir la fin d'une
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guerre : il suffisait d'observer vers quel côté penchait l'Angleterre car elle se trouvait, en fin
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de compte, toujours aux côtés du gagnant. L'Angleterre, ou disons plus justement la
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Couronne, fournissait un "syndic de saisie royal" si efficace que la maison Rothschild finit
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par contrôler, en ce début de siècle, la moitié des biens de ce monde.
source le livre jaune n 5
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